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La Milice dans les quartiers riches
Modérateurs: Jack Fast, Dude, O'Lyvers, SKRIPNICK, Pretre, Teomme
Auteur Message
Froggy
mar. 16 juin 2009, 09:07

Membre enregistré #252
Inscrit(e) le: mer. 07 mai 2008, 14:59
Messages: 43
Bonjour à tous,

Je voudrais avoir des avis concernant le rôle de la milice dans les quartiers riches. Nous sommes actuellement en train de finir "Mort à Venice", scénario dans lequel il est montré que le rôle des milices privée est important.
Lors de ce scénario j'ai pris la décision de dire qu'une partie de Bel Air, où de richissimes personnes vivent la Milice prend le pas sur la police et qu'il est nécessaire d'avoir une bonne raison pour y pénétrer, par exemple un mandat, l'invitation d'un ami ou une carte de résident. J'ai fait cela pour faire comprendre aux détectives que ce quartier n'était pas n'importe quel quartier et qu'il fallait jouer serré. Après la partie nous en avons discuté et nous avons un certain nombre de question :

Quel est le rôle exacte des milices privées ?
Est ce que celle-ci peuvent prendre le pas sur la police dans certains quartiers ?
Jusqu'où peuvent-elle aller ?

A vous lire,
Cordiallement,
Le détective "grenouille"
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Ludo
mar. 16 juin 2009, 09:28

Membre enregistré #337
Inscrit(e) le: jeu. 07 août 2008, 17:44
Messages: 320
Il est spécifié que la dollars police intervient dans la sécurité des quartiers. Il est également spécifié (amitié de LA je crois) que certains riches proprio ont acheté parfois soit seul soit en collectivité des rues entières dans certains quartiers.

Donc forcément, si cela relève du privé, alors la dollars police peut en interdire / contrôler l'accès.

Après il faut jouer fin quand on est un privé. Il peut juste balancer un simple "Monsieur Smith n'est pas là désolé monsieur l'agent" en cas de simple visite. Dans ce cas, ils e mets le COPS en question à dos et ton joueur devra attendre de voir l'individu sur le place publique ou d'avoir un mandat.

A l'inverse, si il la joue zen et cool, il se mets le COPS dans la poche. Et ça peut être un échange de bon procédé entre le privé et le public. Sachant que les privés ont besoin plus que les COPS d'informateurs fiables pour leur job étant donné qu'il n'ont pas du tout le même niveau d'accréditation. Un contact dans la police vaut cher chez eux.

C'est donc à voir selon la tête de l'agence de privé, la politique interne, la loyauté de l'agent envers son client etc...

Quant à leur liberté d'action les privés ne peuvent réellement pas intervenir elle même, elles doivent appeler les autorités compétentes. En gros, elles ont les mêmes contraintes de travail que le physionomiste d'une boite de nuit. Et auront surement des graves ennuis, si elles outrepassent leur job.

Le rôles est essentiellement dissuasif. Maintenant, sachant que la criminalité est très violente à L.A. leur action n'est ni inutile, ni "passive". Dans les privés il faut voir qu'il y a toute une organisation dans les grosses agences, certes il y a des types qui attendent devant une porte pendant des années, mais il y a aussi la protection rapproché de gosse de riche, le secteur des bounty hunters, l'investigation industrielle...


Souviens-toi : Il vaut mieux être jugé par 12 hommes que porté par 6...

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Khaali
mar. 16 juin 2009, 20:49
Membre enregistré #143
Inscrit(e) le: jeu. 24 janv. 2008, 15:53
Messages: 90
Tu parles de "richissimes personnes", je crois que tu confonds milices et services de sécurité privés. Une milice, se sont des habitants bénévoles du quartier qui font des rondes pour surveiller ce qui se passe. Les services de sécurités privés ce sont des sociétés de gardes / mercenaires, payés et organisés hierarchiquement, qui ont un contrat précis avec les co-propriétaires.

En fait, actuellement aux US, les milices se considèrent comme une aide de la police. Donc en général, un milicien approché par un flic sera tout content d'aider ce dernier, quartier privé ou non. Ils ont une mentalité de bénévole.
Le garde d'un service de sécurité a une mentalité d'employé. Il a un contrat et un patron qui va le virer s'il n'est pas content. Un flic peut donc parfois être vu comme une aide... ou des ennuis.

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Froggy
mer. 17 juin 2009, 09:01

Membre enregistré #252
Inscrit(e) le: mer. 07 mai 2008, 14:59
Messages: 43
Merci beaucoup à tous les deux pour ces explications et pour cette distinction ente milice et service de sécurité. Dans le scénar alors il s'agissait plutot de service de sécurité plutot que d'une milice, car l'objectif était pour mes joueurs de trouver un moyen détourné pour entrer dans cette partie "privée" du quartier.
Mais, si je comprends bien, les quartiers ou co-propriétés gardées par un service de sécurité sont une sorte de zone de non, droit non officiel vu que leurs accréditations ne leur permettent pas d'être au dessus des officiers de police. En revanche, la pression exercée par leurs employeurs peut les pousser à outre-passer leurs droits, ce qui signifie que si un flic se fait sortir d'une de ces zones protéger, il a toute autorité pour embarquer les employés un peu virulant du service de sécurité ?
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Tony Montana
mer. 17 juin 2009, 09:12

Membre enregistré #202
Inscrit(e) le: mer. 19 mars 2008, 11:34
Messages: 580
Je pense que dans ce cas précis, c'est surtout le fait que la zone soit privé qui compte, je pense que dans toutes zones public aucune milice/société privé n'a le droit de questionner (en tout cas d'exiger la raison de sa présence) un flic ou de l'empécher d'entrer. Dans une zone/propriété privé, c'est une autre affaire...




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Khaali
mer. 17 juin 2009, 09:32
Membre enregistré #143
Inscrit(e) le: jeu. 24 janv. 2008, 15:53
Messages: 90
Comme Tony.
Un flic n'a pas le droit de rentrer dans une maison sans mandat, sauf s'il peut percevoir de l'extérieur des indices manifestes de problèmes: par exemple s'il entend des coups de feu, ou s'il voit par la fenêtre un kilo de coke sur la table.
S'il n'y a pas ces indices, il peut toujours négocier pour rentrer, c'est tout l'art du flic, arriver a jouer de son autorité.

Si le quartier est entièrement privé, pour moi c'est la même chose, comme une maison géante. Le flic ne peut pas exiger qu'on le laisse rentrer (sauf, comme je disais, s'il y a des problèmes perceptibles a l'intérieur, ou un mandat) mais il peut essayer de persuader les gardes de le laisser passer (genre: 'si je reviens avec un mandat ca va devenir officiel et votre patron ne va pas etre content, alors que si vous me laisser rentrer maintenant il n'y aura pas de vague et votre patron n'en saura rien')

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