Gangsta Paradise (jan. fév. 2031)
Ce supplément, contrairement à ce que pourrait laisser croire sa couverture, ne traite pas des gangs (déjà abordés dans Amitiés de L.A.), mais des réunions d'individus dans un but criminel, dont l'organisation n'est pas assez structurée pour que l'on puisse réellement parler de mafia ou de gang.
Description :
Sommaire :
♦ Les dossiers du LAPD (106 pages)
On va donc retrouver dans cette partie :
- l'organisation criminelle qui sévit dans Little Korea, en passe de devenir une véritable mafia : histoire, organisation, membres, trafics, ennemis, cultes et présentation de quelques PNJ majeurs. Le chapitre se termine par un petit paragraphe décrivant la façon dont les COPS peuvent aborder cette organisation.
- Les éco-terroristes, ces organisations de protection de l'environnement qui ont franchi la ligne jaune pour devenir criminelles, allant du simple sabotage à la violence aveugle. Trois exemples sont données : les Fils de la Terre, organisation canadienne aux motivations politiques et considérée comme terroriste en Californie. Gaïa, secte aux contours mal définis versé dans l'éco-terrorisme plus ou moins par hasard. Les Rangers, un gang clandestins officiant à Downey, dont le but est avant tout d'assainir le quartier.
Les gangs carcéraux : ce chapitre s'attarde à décrire le fonctionnement des clans dans les prisons. Les jeunes, les vieux, les femmes... Et surtout les gangs, ces mini-sociétés basée sur une religion, une idéologie, etc. : les latinos, les blancs de blancs façon 100% aryens, et toutes les autres formes de réunions que peut provoquer l'instinct grégaire.
Les gangs de motards : historique, organisation, présentation des différents gangs, répartition géographique, ressources matérielles et financières (hommes, armement, couverture), hiérarchie, business et présence à L.A.
L'Oumma : ce chapitre aborde les groupes de pression criminels se réclamant de l'Islam. Après un (très) rapide historique de ce mouvement religieux et un rappel de ses préceptes de base, on entre dans le vif du sujet avec une description de la présence de l'Islam en Californie en fonction des origines ethniques et sociales, et les tensions existantes à l'intérieur et en dehors des communautés. Deux organisations majeures sont présentées : la Nation of Islam, mouvement politique de masse aux enseignements farfelus, et la Nation of God and Earth, issu du précédent, encore plus farfelus et beaucoup plus dangereux.
Les posses jamaïquains : là aussi, un rapide historique est fourni sur la naissance du mouvement rastafari, ainsi qu'une présentation des ses grands concepts. On attaque ensuite par une description de l'organisation de la mafia jamaïquaine, centrée autour de trois grandes factions : réparation géographique, zones d'influence, répartition du trafic de drogue et pour chaque faction : culte, recrutement, ressources attitudes et équipement. Et on finit par un rapide « LAPD et Posse ».
Les gangs haïtiens : qui dit Haïti dit obligatoirement vaudou. On commence donc par un classique historique et une description de l'organisation de cette religion. Suit une explication sur l'exode californien (l'invasion de l'île par les témoins de Jéhovah, la transformation de Duarte en Little Haïti, etc.), et les mouvements luttant pour un retour sur l'île.Vient ensuite une galerie de portraits des grandes figures de Duarte : Mama Kulèv, Baron Samedi, etc. On passe ensuite à la présentation des Loa Gangs et leur rapport avec la religion, puis à une description de certains d'entre eux. Indissociable du vaudou californien, ce chapitre ce termine sur les drogues du vaudou, en reprenant le mode descriptif utilisé dans Lignes Blanches.
Les gangs suprématistes blancs : ce chapitre traite des « Californian White Trash », soit les californiens blancs et pauvres, vivant la plupart du temps en caravane, s'abreuvant de bière et de haine, une main sur la télécommande, l'autre sur le flingue. Après une rapide présentation de leur mode de vie, sont détaillées les organisations auxquels ils peuvent appartenir. Les Soldats du Christ, groupuscule violent s'en prenant directement à l'administration californienne, trop permissive (dogme, recrutement, cibles, etc.). Le KKK qu'on ne présente plus, le Parti Socialiste Californien (organisation, objectifs, actions, etc.), et pour finir les Hammerskins.
On clot ce supplément par les milices, réunions de citoyens autour d'un thème commun (quartier, religion, etc.). Au menu : l'Association des Catholiques Sud-Américains (financement, relations avec le LAPD), le Programme de Protection de la Vie Privée (label de qualité pour les sociétés de sécurité), les « chasseurs en milieu urbains », les citoyens médiateurs, etc.
♦ Affaires en cours (58 pages)
Cette partie contient deux scénario, ayant bien entendu pour cadre, plus ou moins éloigné, les organisations décrites dans ce supplément.
♦ LAPD Blues (5 pages)
La vie du commissariat et la revue de presse internationale.
BouCH
- infos -
Gangsta Paradise – jan. fév. 2031 Asmodée Editions ISBN : 2-914849-13-3 Réf. : COP06 |
Crédits : Un jeu de Nicolas Benoist, CROC et Geoffrey Picard, assistés de la SIROZ Death Team. Les gangs suprématistes blancs, les écoterroristes, la chevauchée de Benoît Attinost. Les gangs motards de Jean-François Beney. L'oumma de Nicolas Benoist. Les nouvelles de Charlotte Bousquet. Les gangs asiatiques, les posses jamaïcains, les milices de Thomas Cheilan. Les gangs carcéraux de Antoine Clermond. Des moutons et des loups de Sandy Julien. Les gangs haïtiens de Olivier Noël. LAPD Blues de Benoît Attinost, Antoine Clermond et Geoffrey Picard. Textes et encadrés additionnels de Geoffrey Picard. Relecture et réécriture par Anne-Gaëlle Argy, Yann Arndt, Audrey Leprince et Geoffrey Picard. Illustrations : Conception graphique et couverture : Aleksi Briclot. Illustrations intérieures: Bernard Bittler, Vincent Dutrait, Thierry Masson, Franck Poterlot, Christophe Swal. Mise en page : Greg Cervall qui tient à remercier sa cellule de soutien psychologique (Geoff, Bouly, Phiphi, Marc, Cak, Nath et tous les autres ...) |
Description :
Format A4 - Couverture souple couleurs - 176 pages N&B.
Note sur l'aspect général : une mise en page claire et moderne, bourrée de superbes illustrations et d'encarts (techniques ou romancés). A noter que chaque présentation est précédée d'une petite nouvelle de C. Bousquet.
Note sur l'aspect général : une mise en page claire et moderne, bourrée de superbes illustrations et d'encarts (techniques ou romancés). A noter que chaque présentation est précédée d'une petite nouvelle de C. Bousquet.
Sommaire :
♦ Les dossiers du LAPD (106 pages)
On va donc retrouver dans cette partie :
- l'organisation criminelle qui sévit dans Little Korea, en passe de devenir une véritable mafia : histoire, organisation, membres, trafics, ennemis, cultes et présentation de quelques PNJ majeurs. Le chapitre se termine par un petit paragraphe décrivant la façon dont les COPS peuvent aborder cette organisation.
- Les éco-terroristes, ces organisations de protection de l'environnement qui ont franchi la ligne jaune pour devenir criminelles, allant du simple sabotage à la violence aveugle. Trois exemples sont données : les Fils de la Terre, organisation canadienne aux motivations politiques et considérée comme terroriste en Californie. Gaïa, secte aux contours mal définis versé dans l'éco-terrorisme plus ou moins par hasard. Les Rangers, un gang clandestins officiant à Downey, dont le but est avant tout d'assainir le quartier.
Les gangs carcéraux : ce chapitre s'attarde à décrire le fonctionnement des clans dans les prisons. Les jeunes, les vieux, les femmes... Et surtout les gangs, ces mini-sociétés basée sur une religion, une idéologie, etc. : les latinos, les blancs de blancs façon 100% aryens, et toutes les autres formes de réunions que peut provoquer l'instinct grégaire.
Les gangs de motards : historique, organisation, présentation des différents gangs, répartition géographique, ressources matérielles et financières (hommes, armement, couverture), hiérarchie, business et présence à L.A.
L'Oumma : ce chapitre aborde les groupes de pression criminels se réclamant de l'Islam. Après un (très) rapide historique de ce mouvement religieux et un rappel de ses préceptes de base, on entre dans le vif du sujet avec une description de la présence de l'Islam en Californie en fonction des origines ethniques et sociales, et les tensions existantes à l'intérieur et en dehors des communautés. Deux organisations majeures sont présentées : la Nation of Islam, mouvement politique de masse aux enseignements farfelus, et la Nation of God and Earth, issu du précédent, encore plus farfelus et beaucoup plus dangereux.
Les posses jamaïquains : là aussi, un rapide historique est fourni sur la naissance du mouvement rastafari, ainsi qu'une présentation des ses grands concepts. On attaque ensuite par une description de l'organisation de la mafia jamaïquaine, centrée autour de trois grandes factions : réparation géographique, zones d'influence, répartition du trafic de drogue et pour chaque faction : culte, recrutement, ressources attitudes et équipement. Et on finit par un rapide « LAPD et Posse ».
Les gangs haïtiens : qui dit Haïti dit obligatoirement vaudou. On commence donc par un classique historique et une description de l'organisation de cette religion. Suit une explication sur l'exode californien (l'invasion de l'île par les témoins de Jéhovah, la transformation de Duarte en Little Haïti, etc.), et les mouvements luttant pour un retour sur l'île.Vient ensuite une galerie de portraits des grandes figures de Duarte : Mama Kulèv, Baron Samedi, etc. On passe ensuite à la présentation des Loa Gangs et leur rapport avec la religion, puis à une description de certains d'entre eux. Indissociable du vaudou californien, ce chapitre ce termine sur les drogues du vaudou, en reprenant le mode descriptif utilisé dans Lignes Blanches.
Les gangs suprématistes blancs : ce chapitre traite des « Californian White Trash », soit les californiens blancs et pauvres, vivant la plupart du temps en caravane, s'abreuvant de bière et de haine, une main sur la télécommande, l'autre sur le flingue. Après une rapide présentation de leur mode de vie, sont détaillées les organisations auxquels ils peuvent appartenir. Les Soldats du Christ, groupuscule violent s'en prenant directement à l'administration californienne, trop permissive (dogme, recrutement, cibles, etc.). Le KKK qu'on ne présente plus, le Parti Socialiste Californien (organisation, objectifs, actions, etc.), et pour finir les Hammerskins.
On clot ce supplément par les milices, réunions de citoyens autour d'un thème commun (quartier, religion, etc.). Au menu : l'Association des Catholiques Sud-Américains (financement, relations avec le LAPD), le Programme de Protection de la Vie Privée (label de qualité pour les sociétés de sécurité), les « chasseurs en milieu urbains », les citoyens médiateurs, etc.
♦ Affaires en cours (58 pages)
Cette partie contient deux scénario, ayant bien entendu pour cadre, plus ou moins éloigné, les organisations décrites dans ce supplément.
♦ LAPD Blues (5 pages)
La vie du commissariat et la revue de presse internationale.
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